This site uses cookies.
Some of these cookies are essential to the operation of the site,
while others help to improve your experience by providing insights into how the site is being used.
For more information, please see the ProZ.com privacy policy.
anglais vers français: L'Enfant lointain (un conte de Jason Forbus) General field: Art / Littérature Detailed field: Poésie et littérature
Texte source - anglais Once upon a time, on my little island lived a strange child. He did not have a name, nor a place to call home. At night he slept at the lighthouse where, cradled by the waves, he dreamt of the sea…
The child always told his friends that the world was not round as everyone else believed, but actually ended in an immense waterfall! One dreamy morning he set on proving his belief: he lowered a raft into the sea and waited for the western wind. The child far away wanted to go, and when the wind began to blow he followed it, never again to return.
Soon, the current dragged him far from the shores, far from my island where everyone spoke the language of the Sun. The child went for that shiny immensity, climbing waves as tall as mountains and smiling each time his fingertips tickled a cloud…
Traduction - français Il était une fois un enfant étrange qui habitait sur ma petite île. Il n’avait pas de nom, et nulle part n’était chez lui. La nuit, il dormait au phare, où, bercé par les vagues, il rêvait de la mer…
L’enfant ne cessait de raconter à ses amis que le monde n’était pas rond comme tous le croyaient, mais se terminait en réalité dans une immense chute d’eau! Un matin de rêve, il voulut le prouver: il mit son radeau à la mer et attendit le vent d’ouest. L’enfant lointain voulait s’en aller et quand le vent commença à souffler, il le suivit pour ne plus jamais revenir.
Bientôt, le courant l’entraîna loin du rivage, loin de mon île où tout le monde parlait le langage du soleil. L’enfant alla vers cette immensité brillante, escaladant des vagues hautes comme des montagnes, et souriant chaque fois que ses doigts frôlaient un nuage…
espagnol vers français: Monchi, l'art du recrutement (mag du Sevilla FC) General field: Autre Detailed field: Sports / forme physique / loisirs
Texte source - espagnol Monchi se convirtió en director deportivo con apenas 32 años. Con mucha humildad y sin apenas fondo, forjó un plantel competitivo con gasto cero y el Sevilla logró ascender a Primera. Desde entonces todo fue a más. Cada verano los fichajes de la secretaría técnica, en la mayoría de los casos a precios de saldo, dispararon el nivel del equipo, que a medio plazo se convirtió en uno de los grandes de España y de Europa, habitual en la Champions y campeón por dos veces consecutivas de la UEFA.
Daniel Alves, Julio Baptista, Adriano Correia, Frederic Kanouté, Luis Fabiano, Poulsen, Julien Escudé o Andrés Palop son sólo algunos de los hombres que Monchi reclutó en su día para hacer un Sevilla grande. Muchos de ellos salieron por cantidades estratosféricas, cuando su inversión fue mínima. El caso de Daniel es el más significativo: costó menos de un millón de euros y se vendió, después de ganar cinco títulos –tres continentales- en más de 30. Lógicamente, en este tiempo también ha habido operaciones negativas, pero la balanza se inclina muy a favor del director deportivo de San Fernando, hasta el punto de que muchos clubes europeos se han interesado e incluso han copiado su metodología de trabajo.
Traduction - français Monchi devient directeur sportif à tout juste 32 ans. Avec humilité et sans disposer de grands moyens, il forge un effectif compétitif sans faire de dépenses et le FC Séville accède à la première division. C’est alors la montée en puissance. Chaque été, les recrutements de la direction technique, souvent à prix soldés, ont décuplé le niveau du club, qui à moyen terme est devenu un grand club d’Espagne et d’Europe, habitué de la Champion’s League et vainqueur deux fois de suite de la Coupe de l’UEFA.
Daniel Alves, Julio Baptista, Adriano Correia, Frédéric Kanouté, Luis Fabiano, Poulsen, Julien Escudé ou Andrés Palop ne sont que quelques-uns des hommes recrutés à une époque pour construire un grand FC Séville. Beaucoup d’entre eux sont partis en échange de sommes astronomiques, alors que l’investissement avait été minimal. L’exemple de Dani Alvés est le plus parlant : il a coûté moins d’un million d’euros et, après avoir remporté cinq titres – dont trois trophées continentaux –, a été vendu pour plus de 30. Bien entendu, durant cette période, il y a aussi eu des opérations négatives, mais la balance penche très nettement en faveur du directeur sportif né à San Fernando, au point que de nombreux clubs européens se sont intéressés à lui et ont même copié ses méthodes de travail.
More
Less
Expérience
Années d'expérience en traduction : 11. Inscrit à ProZ.com : Jan 2013.